Abstract/Sommario: Nel reportage: Calcutta, ville de mixité (Clacutte -Kolkata- est un véritable pôle d'attraction de tout l'Est indien: longtemps les réforems agraires ont retenu les paysans au village, mais peu à peu, les terres se concentrent à nouveau dans quelques mains et Clacutte sert d'entonnoir à la misère du Bengale et des Etats environnants. Les pauvres s'entassent par dizaines de milliers dans les slums. Toutes les éthnies de la Fédération y vivent. Partout des temples et les signes d'une spi ...; [Leggi tutto...]
Nel reportage: Calcutta, ville de mixité (Clacutte -Kolkata- est un véritable pôle d'attraction de tout l'Est indien: longtemps les réforems agraires ont retenu les paysans au village, mais peu à peu, les terres se concentrent à nouveau dans quelques mains et Clacutte sert d'entonnoir à la misère du Bengale et des Etats environnants. Les pauvres s'entassent par dizaines de milliers dans les slums. Toutes les éthnies de la Fédération y vivent. Partout des temples et les signes d'une spiritualité vivante); South citu, lìInde des nouveaux riches (Calcutte devient la ville des 'malls', les centres commerciaux plus ou moins luxuex qui fleurissent partout. Ladite classe moyenne en pleine explosion en Inde est loin deprofiter de la forte croissance actuelle. L'inflation est de l'oedre du 8%) La résistance des tireurs de rickshaw (Calcutte est la dernière ville de l'Inde où cette profession existe encore: la municipalité voudrait se défaire de cette image de 'misère' et n'émet plus de licences de rickshaw, profession introduite au 19. siècle par des commerçants chinois); Une communauté catholique diverse (Les 150 mille catholiques de Calcutta sont s'origines diverses: Bangalis convertis après l'arrivée des Européens, Indp-Anglais et Indiens des etats 'cathliques' de longue date, tribus de l'Estdu pays. Ces communautés se sont devéloppées à l'aide des missionaires, Belges notamment, à partir de la moitié du 19. siècle. Les Pères salesiens sont aussi présents à Calcutta, où ils sont très actifs dans l'enseignement technique. Les clarissiens, les rédemptoristes, les capucins franciscains ont aussi ouvert des missions à Calcutta); Ville de lumières (Ram Mohan Roy et Rabindranath Tagore sont les deux maîtres de la 'Renaissance bengalie' tenta de concilier l'Inde éternelle avec la modernité occidentale); De la bengalisation du chrstianisme (apporter le message biblique au Bengale en languebengalaise, intégrer la voix du christianisme dans la vie et la voie indienne c'est la direction dans la quelle ont travaillé les missionaires depuis des décennies. Le jésuite belge Christian Mignon a traduit la Bible en bengali: ça lui a fallu 35 ans. Le p. Sadjou a entrepris de créer lui-même des spectacles de danse et des ballets 'chrétiens, mais avec les formes de l'Inde. Il s'agî d'utiliser le corps pour étire son âme et d'offrir une joie et un sentiment d'exstase); La sainte de Calcutta (dix ans après sa disparition, mère Teresa reste dans toutes les mémoires à Calcutta. Son image est partout. Son action, poursuivie par les Missionaires de la charité, est toujours aussi importante pour les miséreux de la ville); Soeur Cyril, de la couleur dans le ciel de Calcutta (Saoer Cyril, de la Congrégation de Loreto est directrice de l'école Sealdah: elle a trasnformé cette école élitaire en un lieu où on abat les murs qui séparent les riches des pauvres. : l'déededépart était d'établir la parité entre les enfants de riches et de pauvres au sein de l'école Sealdah. Aujourd'hui il y a 1400 élèves, dont 700 issus de familles extrèmement pauvres et des slums. Grâce au principe du 'coaching' les éleves plus avancés enseignent eux-mêmes aux enfants les plus demunis, avec l'objectif de rattrapper en quelques mois le gap, et que les petits pauvres schaent lire et compter pour qu'ils puissent entrer dans une des classes de Sealdah ou intégrer une école gouvernementale. Ceux-ci seront soutenus financièrement par Soeur Cyril. Les barrières religieuses aussi sont abolies); "Nous sommes tous des mendiants de l'amour de Dieu" (Gaston Grandjean, qui a inspiré le héro de 'La cité de la joie' vit aujoued'hui dans un vilage à 80 km de Calcutta a crée un ashram où il accueille les plus misérables); L'Arche de Calcutta (en Inde, comme ailleurs, le handicap est difficilement accepté. L'Arche de Calcutta, qui suit le message de Jaen Vanier nait en 1973. Elle accueille 59 personnes); la diocèse au secours des bidonvilles (Seva kendra, ONG du diocèse de Calcutta, tente peu à peu de s'investir dans les bidonvilles); De l'espoir pour les enfants des rues ( Don Bosco Ashalayam, une ONG indienne crée en 1985 au but de scolariser et de donner une formation aux enfants des rues: il disposent de 21 foyers : 500 les enfants suivis, dont 20% des filles. Ceux qui ne peuvent pas suivre une scolarité générale sont aiguillés vers le centre de formation professionelle de l'ONG, pour apprendre la menuiserie, la boulangerie, la relieure et le métier de tailleur)