Abstract/Sommario: Marquée par le passage de son fondateur - et éphémère président- Bathélemy Boganda, référence de tous ses successeurs, la République centrafricaine dresse un bilan douloureux de ses cinquante années de souveraineté. Parmi les plus pauvres au monde, traumatisés par une série de coups d'état à répétition et sous la férule de pouvoirs liberticides, le pays a cependant amorcé une réconciliation nationale avec les groupes rebelles en 2008 pour mettre fin à la guerre civile. Saura-t-il capit ...; [Leggi tutto...]
Marquée par le passage de son fondateur - et éphémère président- Bathélemy Boganda, référence de tous ses successeurs, la République centrafricaine dresse un bilan douloureux de ses cinquante années de souveraineté. Parmi les plus pauvres au monde, traumatisés par une série de coups d'état à répétition et sous la férule de pouvoirs liberticides, le pays a cependant amorcé une réconciliation nationale avec les groupes rebelles en 2008 pour mettre fin à la guerre civile. Saura-t-il capitaliser ces acquis pour entrer dans une ère de stabilité et de démocratie? Le report de l'élection présidentielle et la persistance des mouvements de rébellion qui terrorisent la population , montrent que le chemin est encore long
Abstract/Sommario: L'agriculture est l'un des piliers de l'économie tunisienne, même si son poids est tombé à moins de 10% du produit intérieur brut en 2010. Cette chute n'est cependant pas irrémédiable, à condition d'abandonner les méthodes archaïques et de miser sur les avantages comparatifs du pays (des petits domaines agricoles de qualité), pour développer une véritable nouvelle chaine économique et biologique, allant de la culture à la transformation industrielle, jusqu'à l'emballage. Des 330.000 he ...; [Leggi tutto...]
L'agriculture est l'un des piliers de l'économie tunisienne, même si son poids est tombé à moins de 10% du produit intérieur brut en 2010. Cette chute n'est cependant pas irrémédiable, à condition d'abandonner les méthodes archaïques et de miser sur les avantages comparatifs du pays (des petits domaines agricoles de qualité), pour développer une véritable nouvelle chaine économique et biologique, allant de la culture à la transformation industrielle, jusqu'à l'emballage. Des 330.000 hectares de superficies cultivées bios, dont la moitié est déjà certifiée selon les normes internationales, on devrait arriver à 500.000 ha en 2014